On aura perdu du temps et de la salive pour la suppression de l’allemand, de l’italien et du russe au collège. Des mois de polémiques… et c’est fini. Le gouvernement a reculé face aux pressions. Voilà la preuve que c’est souvent, comme dans les négociations, la charrue avant les bœufs. Il n’y a pas eu de concertations sur la question. Le ministre de l’Education ne parle pas le même langage – la même langue – que celui de l’Enseignement supérieur. On verra ce qu’il dira à son tour à l’Assemblée nationale.