On avait tous espéré que la crise du coronavirus allait être une impulsion qui pousserait nos dirigeants à mettre à niveau nos structures hospitalières. Hélas, malgré des bons résultats, peu de choses ont changé à ce niveau. Ni non plus à l’école où les élèves vont retrouver, pour certains, des écoles sans sanitaires, sinon des abris provisoires. Quand nos dirigeants auront encore le regard tourné vers l’Occident pour la formation de leurs enfants et leur bien-être, comment pourrions-nous rêver d’arrêter les vagues des migrants qui vont à l’assaut de l’Occident ?