Naomie Katoka rejette les rumeurs sur «une prétendue grossesse»

La Congolaise Naomie Kato­ka a démenti les rumeurs qui circulent sur les réseaux so­ciaux selon lesquelles elle aurait été disqualifiée au Jeux Olympiques Tokyo 2020, à cause d’une probable grossesse détectée. «En fait je devais peser moins de 67kg, j’ai été trahie par quelques grammes de plus. Déjà, en arrivant ici j’ai dit clairement que je pesais 68/69 kg», a affirmé l’athlète au cours d’une interview exclusive accordée à Radio Okapi. En effet, la Congolaise a été disqualifiée, lundi 26 juillet dernier, face à l’Ivoirienne Ruth Gbagbi dans la catégorie de moins 67 kilos. «Je ne suis pas célibataire. Je suis une femme mariée, donc devenir grosse ne sera déjà pas un péché pour moi, ça sera en revanche une bénédiction et ce n’est pas ça le problème», a expliqué Naomie Katoka.

L’athlète ougandais qui avait fugué, détenu dans son pays
L’athlète ougandais qui avait fui lors d’un entraînement préolympique dans l’Ouest du Japon la semaine dernière, a été retrouvé. L’haltérophile, Julius Ssekitoleko, 20 ans, se trouvait dans la ville de Yok­kaichi, à 170 kilomètres à l’Est de sa ville hôte, dans l’Ouest du Japon. Rapatrié à Kampala, Julius a été mis aux arrêts par les autorités ougandaises. Selon la presse locale, il est en garde à vue depuis vendredi.
En quarantaine, des Néerlandaises dénoncent une «prison olympique»
Testées positives au Covid-19, placées en quarantaine dans un hôtel et privées de compétition à Tokyo, des sportives néerlandaises ont exprimé mercredi leur grande frustration, dénonçant ce qu’elles qualifient de «prison olympique», et exigent davantage de temps à l’air libre.
Mardi, l’organisation olympique néerlandaise avait déjà fustigé les conditions d’isolement «inacceptables» de six membres de sa délégation à Tokyo, enfermés dans de «très petites pièces» sans aération et sans lumière du jour.
La skateuse et ses cinq compatriotes ont fait «grève» en ne bougeant pas du hall d’accueil de leur hôtel. Au bout de 7-8 heures de ce «sit-in», ils ont fini par obtenir 15 minutes par jour d’accès à une fenêtre ouverte.

Giflée par son entraîneur, la judoka allemande s’explique
Martyna Trajdos a été giflée avant de monter sur le tatami, mardi 27 juillet, aux Jeux Olympiques de Tokyo. La scène a depuis fait le buzz. L’athlète a expliqué qu’elle avait choisi elle-même ce rituel musclé. Elle a pris la défense de son coach. «On dirait qu’il ne frappe pas assez fort», a ironisé Trajdos. «J’aurais aimé pouvoir faire les gros titres pour d’autres raisons aujourd’hui. Comme je l’ai déjà dit, c’est le rituel que j’ai choisi avant la compétition ! Mon entraîneur fait juste ce que je veux qu’il fasse pour me motiver !»

Un journaliste grec renvoyé pour avoir tenu des propos racistes
Un journaliste de la télévision publique grecque ERT a été renvoyé mardi après avoir tenu des propos racistes envers un joueur sud-coréen de tennis de table lors des Jo de Tokyo. Les commentaires de Di­mosthenis Karmiris à l’antenne après la défaite de son compatriote ne sont pas bien passés du tout. Surtout lorsque le journaliste grec a fait allusion aux yeux bridés du vainqueur. La chaîne publique ERT a donc décidé de le renvoyer mardi.