La mort impardonnable de Astou Sokhna devrait être l’occasion de poser enfin des actes qui pourront faire que lorsque l’on dira : «Plus jamais ça !», ce soit à juste raison. Nous nous sommes trop souvent scandalisés des conditions d’accueil et de prise en charge dans nos formations hospitalières, qui sont plus des mouroirs qu’autre chose, et cela n’a jamais changé. Il faudrait certainement que nos dirigeants commencent à se faire soigner dans nos pays, pour que les médecins soient mieux payés, nos hôpitaux mieux équipés, et le personnel mieux formé.