Les divergences politiques sont devenues des sujets pour les intellectuels sénégalais. Ce pays est devenu tellement «clivé» qu’on a du mal à avoir la meilleure version des analyses politico-judiciaires. Elles se font désormais à l’aune des appartenances religieuses. Alors que l’on n’est plus à l’aube de notre démocratie. Qui croire ? D’un côté ou de l’autre, ils sont des héros et des zéros. Des idoles et des parias… Ce n’est plus le choc des idées, mais le choc des contraires. Un jour prochain, la lumière va rejaillir pour illuminer le champ politique en pleine obscurité désormais.