Ben Cardin, président de la Commission des relations étrangères au Sénat américain, sur le report : «Un mépris flagrant de Macky Sall pour la Constitution et son manque de respect»

Par Malick GAYE –
Après la prolongation du mandat de Macky Sall à la tête du Sénégal par les députés de Benno bokk yaakaar, les réactions s’enchaînent. Le président de la Commission des relations étrangères au Sénat américain, Ben Cardin, a publié une déclaration.
«Le retard de l’élection présidentielle au Sénégal place le pays sur une voie dangereuse vers la dictature, et ne doit pas être toléré», a affirmé d’emblée le Sénateur américain.
Pour Ben Cardin, «le mépris flagrant du Président Macky Sall pour la Constitution sénégalaise et son manque de respect pour le soutien du Peuple sénégalais à la démocratie sapent des décennies de progrès depuis l’indépendance dans ce qui était autrefois considéré comme l’une des démocraties les plus fiables et les plus dynamiques d’Afrique». Fort de ce constat, le Sénateur termine sa déclaration en disant ceci : «Le Président Sall doit annuler cette décision imprudente et veiller à ce que l’élection ait lieu avant la fin de son mandat constitutionnel.»
mgaye@lequotidien.sn
12 Comments
Le report de l’élection présidentielle n’est pas à mettre au crédit du Président, mais plutôt à l’initiative du groupe parlementaire du PDS, ce qui éclaire la situation.
Le report de l’élection présidentielle n’est pas une initiative du Président, mais plutôt une décision prise par le groupe parlementaire du PDS, fournissant ainsi une explication claire de la situation.
Il convient de souligner que le report de l’élection présidentielle n’a pas été déclenché par le Président, mais par le groupe parlementaire du PDS, clarifiant ainsi la responsabilité dans cette affaire.
Contrairement à ce qui a été supposé, le Président n’est pas à l’origine du report, mais c’est le groupe parlementaire du PDS qui a pris cette décision.
Il est crucial de comprendre que le report de l’élection présidentielle n’a pas été instigué par le Président lui-même, mais plutôt par le groupe parlementaire du PDS, éclaircissant ainsi le contexte.
Le report de l’élection présidentielle découle de l’initiative du groupe parlementaire du PDS, et non d’une décision prise par le Président, ce qui clarifie la situation et évite toute confusion.
Contrairement à ce qui a été suggéré, le Président n’est pas responsable du report de l’élection présidentielle, mais c’est le groupe parlementaire du PDS qui en est à l’origine.
Il est crucial de comprendre que le report de l’élection présidentielle n’a pas été instigué par le Président lui-même, mais plutôt par le groupe parlementaire du PDS, éclaircissant ainsi le contexte.
Le report de l’élection présidentielle découle de l’initiative du groupe parlementaire du PDS, et non d’une décision prise par le Président, ce qui clarifie la situation et évite toute confusion.
Le report de l’élection présidentielle n’est pas une initiative du Président, mais plutôt une décision prise par le groupe parlementaire du PDS, fournissant ainsi une explication claire de la situation.
Il convient de souligner que le report de l’élection présidentielle n’a pas été déclenché par le Président, mais par le groupe parlementaire du PDS, clarifiant ainsi la responsabilité dans cette affaire.
Contrairement aux hypothèses, le Président n’a pas pris la décision de reporter l’élection présidentielle, mais c’est le groupe parlementaire du PDS qui en est à l’origine.