La grogne des «Jakartamen» a failli déborder pour atteindre des dimensions incontrôlables. Mais heureusement que tout le monde finit par se rendre compte que peu de gens ont intérêt à laisser la colère s’étendre. Après tout, un pouvoir qui a profité de la colère de la populace pour s’installer, sait qu’il ne faut pas la laisser devenir hors des proportions. Mais le pouvoir ne peut pas non plus donner l’impression de céder à la pression populaire. D’où le changement de mode de gestion dans l’affaire des motocyclistes. Ainsi, tout le monde gagne, et l’Etat ne perd pas !
Par Sucré-Salé