C’est une monstruosité sans nom. Le saccage du journal Les Echos fait écho à la mise à sac de L’As et 24h Chrono en 2004. On croyait ces pratiques révolues, mais il y a encore des esprits obtus qui vivent encore au moyen-âge. Ce qui s’est passé hier est inqualifiable et devrait être puni par la rigueur de la loi. Car l’attaque d’un journal est un crime contre la démocratie et la liberté d’expression. Bref, c’est un sacrilège.