Accusé de viol par le mannequin Kathryn Mayorga (34 ans), la justice américaine avait pris la décision en juillet dernier de ne pas poursuivre le footballeur Cristiano Ronaldo. Mais cette affaire pourrait être relancée après que les tests réalisés ont prouvé que l’Adn de Cristiano Ronaldo était bien présent sur les preuves apportées par la dame.
Dans une centaine de pages de courriels, vus par The Sun, qui ont été échangés entre la police et les procureurs, le détective Jeffrey Guyer aurait écrit : «Le résultat des tests Adn est arrivé et correspond.» Trois mois seulement après la fermeture de ce dossier par la justice américaine, l’affaire pourrait être relancée. De plus, dans les mails dévoilés par le média anglais, on lit que les avocats de Cristiano Ronaldo affirment que la victime lui avait bien dit «non» et «stop».
Pour rappel, cette affaire remonte à l’année 2009. Dans une suite aux Etats-Unis, Kathryn aurait été violée par Ronaldo. Après, en 2010, elle aurait reçu la somme de 338 000 euros en échange de son silence. Mais en septembre dernier, inspirée par le mouvement #MeToo, elle a brisé le silence en racontant son histoire au média allemand Der Spiegel.