«C’est un énorme plaisir de revoir le camp reprendre son chemin. Cela démontre que l’intérêt est toujours là. L’orga­niser en Egypte pour la première fois dans l’histoire, c’est une innovation. On voit des jeunes ou même des entraîneurs qui sont passés ici et qui sont maintenant dans les équipes nationales. Dans l’ensemble, c’est le basket africain qui continue à émerger. On parle de cet écosystème qu’on a construit de la base au sommet. Au sommet, on a maintenant la Basketball Africa league. Ces jeunes qui sont là proviennent des clubs. Nous voulons renforcer la capacité de ces clubs. C’est le lien direct.»
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