CANNES 2020 – «Coura + Oulèye» sélectionné à la Fabrique des cinémas du monde : «Iman Djionne met en scène des femmes qui s’émancipent»


Vous avez été sélectionnés par la Fabrique des cinémas du monde qui devait se tenir comme chaque année au Festival de Cannes : en raison de la crise du Covid-19, elle a été maintenue, mais de façon virtuelle. Comment vivez-vous cela ?Iman DjionneSouleymane KébéOù en êtes-vous dans le projet ?Souleymane KébéIl vous fallait une coproduction ?Aviez-vous fait un dossier pour le Fopica ?Souleymane KébéNégocier avec d’autres producteurs qui vont défendre les goûts de leur public pose la question de l’autonomie : la question se pose-t-elle pour vous ?Souleymane KébéIman, cette question s’est-elle posée au niveau des résidences d’écriture ?Iman DjionneIman Djionnetes-vous partie d’un vécu personnel ou proche ?Iman DjionneQuelle actualité donnez-vous à cette problématique ?Iman DjionneLe personnage de La boxeuse était en rupture avec la forme dominante de la femme. Coura et Oulèye vont-elles aussi être en rupture ?Iman DjionneVous avez participé au casting d’Atlantique, un film où Ada se détournait du mariage arrangé par sa famille et fréquentait des femmes plus libres. Est-ce cela qu’il est important de dire aux jeunes aujourd’hui : faire leur choix et refuser les modèles imposés ?Iman DjionneC’est une question qui traverse les générations. Comment la traitez-vous en 2020 ?Iman DjionneLa question sociale est-elle présente ?Iman DjionneSouleymane KébSouleymane, votre parcours de formation était plutôt dans la production de documentaires. Vous produisez là une fiction…Souleymane KébéAfricultures.com


