La comédie n’a pas trop duré. Quelques heures après sa note de service, qui l’a fait valser sur les réseaux sociaux, le directeur du Grand Théâtre a mis fin à la diffusion de sa pièce sur la souveraineté capillaire et corporelle. Il l’a retirée sur ordre de la tutelle, mais il a surtout cédé à cause des moqueries sur ce scénario insipide et indigeste. Finalement, c’est un projet mort-né et enterré sous les hourras des femmes, qui doivent gérer leur apparence comme elles veulent.