L’ancien Marseillais Pape Guèye s’est exprimé sur Instagram au sujet des dirigeants qui téléguident des informations via les réseaux sociaux pour pointer du doigt certains joueurs dont ils ne veulent plus dans leur club. Il fustige le traitement médiatique que l’Olympique de Marseille réserve aux indésirables. D’ailleurs, Mbemba et les bannis sont entrés en guerre avec le président Longoria.
Le torchon brûle entre Pape Guèye et l’Olympique de Marseille. Le milieu de terrain sénégalais, qui a quitté le club libre pour s’engager avec le Villareal, a posté un message ciblé sur son compte Instagram, pour répondre à des dirigeants qui véhiculent de fausses informations sur sa personne. Le joueur de 25 ans n’a pas mentionné les noms de ces dirigeants, ni le club en question.
Pour rappel, l’ancien joueur du Fc Séville avait été écarté par les dirigeants du club phocéen, lorsqu’il avait refusé de prolonger son contrat.
Il avait été aussi privé de la Ligue Europa à cause de son bras de fer avec les dirigeants de l’Om.
Il faut dire que le chantier est immense à l’Om. Entre les nombreuses arrivées et les départs, la gestion des indésirables est également délicate.
Avec les nouvelles recrues, notamment Mason Greenwood qui a suscité des interrogations, le cas du gardien de but numéro un la saison prochaine qui n’a toujours pas été trouvé, la liste des joueurs bannis également fait parler. La situation est tendue au club avec ces derniers dont Mbemba, Amavi, Veretout, Gigot, Ulisses Garcia ou encore Pau Lopez.
Rmc Sport a dévoilé que les comportements de certains joueurs agaceraient en interne. «En attendant de trouver un point de chute, Jordan Amavi a un comportement exemplaire, par exemple.
Ce n’est pas le cas de tout le monde. L’attitude de Chancel Mbemba, aux antipodes de l’image qu’il peut renvoyer publiquement, a tendance à irriter en interne. Comme d’autres, il a refusé des offres jugées satisfaisantes par l’Om. Certains joueurs sur qui le club ne compte plus ont même refusé des propositions qui leur permettaient de doubler leur salaire. Une situation qui ne permet pas aux dirigeants de poursuivre et finaliser leur mercato.
Dans le camp des bannis, on répond que Marseille doit tenir ses engagements et respecter les contrats signés», peut-on lire. Ambiance !