Plusieurs centaines d’étudiants ont manifesté mercredi dans les rues de Bouaké, au lendemain du meurtre en plein jour d’un de leurs camarades.

«Notre camarade a été victime d’un braquage à 13h00. Les braqueurs au nombre de deux, lui ont pris ses portables et l’ont poignardé», a expliqué à l’Afp l’un des leaders estudiantins, Yannick Kakou Forken.

«Un milieu d’insécurité»
«Nous vivons dans un milieu d’insécurité. Ce n’est pas la première fois que des étudiants sont agressés, des viols avaient été commis sur des filles au campus, nous disons que ça suffit comme ça», a-t-il souligné.
En signe de solidarité, tous les établissements secondaires et techniques situés dans les environs de l’Université ont également fermé leurs portes.
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