Pour le pèlerinage, il y a toujours des couacs. C’est comme une règle dans ce pays. Les pèlerins sont laissés en rade. Les avions sont en retard. Autant de phrases qui ont traversé les années, déchiré les différentes délégations générales au pèlerinage. Si El Malick Ndiaye va traverser cette zone de turbulences sans soucis, il est sûr qu’il y aura des têtes qui vont être coupées pour permettre aux pèlerins de décoller vers leur rêve suprême : La Mecque.