Mercredi, Reims a pris un petit avantage dans la course au maintien, en obtenant un bon nul en déplacement à Metz, et pourra aborder la finale de la Coupe de France avec un peu plus de sérénité. A ce sujet, Samba Diawara, l’entraîneur de l’adversaire du Paris Saint-Germain, a tenu à rectifier le tir après ses propos tenus à chaud au Stade Mauroy.

Sous le choc du scénario final de la 34e journée, le technicien avait confié que son unique priorité était le maintien de son club dans l’élite et que la finale de la Coupe de France passait au second plan, quitte à faire des choix drastiques afin de mieux préparer le match retour contre Metz. Mais, se confiant dans «L’Union de Reims», Samba Diawara a tenu à mettre les choses au point.
Revenant sur ses propos, l’entraîneur du Stade de Reims a reconnu qu’ils avaient été mal compris et que la finale de la Coupe de France était évidemment prise très au sérieux. «Les paroles que j’ai prononcées après la défaite à Lille n’ont pas été bien comprises. Quand j’ai dit que la finale passait au second plan, ça ne voulait pas dire qu’on allait la bâcler en alignant une équipe B. Ça signifiait surtout que la priorité était de se maintenir en Ligue 1. En sachant qu’on avait trois matchs à disputer dans un laps de temps, on a privilégié le fait d’aligner des joueurs à 100%», a précisé Samba Diawara. Du côté des supporters rémois, qui ont boycotté le déplacement à Metz, on estime que les barrages ont totalement gâché la fête qu’était cette participation à la finale de la Coupe de France, ce samedi, contre le Psg au Stade de France, à 19h Gmt.

Pour l’état dans lequel se trouve son groupe, en particulier Junya Ito, Mamadou Diakhon et Aurelio Buta, absents mercredi, le technicien rassure : «Ce matin (hier), tous les joueurs sont en forme (excepté bien sûr les blessés de longue durée, Mohamed Daramy, Rada Khadra et Yaya Fofana). Après, ils ont tous envie de jouer et de se faire plaisir.»
Avec foot01