On ne sait plus arrêter la calculette. Le décompte est chaque jour plus macabre. A peine finit-on de compter le nombre de victimes du énième bombardement israélien sur Gaza et ses enfants, que l’on doit se dépêcher de ramasser les naufragés noyés au large de Barsa, et parfois même pas plus loin que le long de la côte mauritanienne. Si l’on peut comprendre que les pauvres Gazaouis ne peuvent rien face à l’aveugle précision des armes israéliennes, on se demande de manière incessante ce qui rend le Sénégal si inhabitable pour sa jeunesse.
Par Sucré-Salé
A LIRE AUSSI...