«Je n’ai pas d’appréhension par rapport à ce qui se passe. Ce que nous vivons en ce moment (Affaire Sonko-Adji Sarr, Ndlr), c’est un Etat dans lequel les gens vont et viennent en toute liberté. Attendons de voir l’issue de cette procédure, mais je n’ai pas de craintes en ce qui me concerne. Ce que j’ai toujours dit en tant qu’institution du Médiateur, nous n’avons de raison d’être que si nous citoyens nous sommes soumis au droit tout comme l’Etat du Sénégal, la puissance publique. On ne peut pas concevoir un Etat de droit dans lequel on se défie de la loi, ce n’est pas possible. Nous sommes tous soumis à l’autorité de la loi, à l’autorité de la loi régulée par un juge. Dans un Etat de Droit celui qui a le dernier mot, celui qui occupe la place centrale, c’est le juge, c’est le régulateur central.»