Dépravation enfantine

La direction du Commerce décide d’interdire de vente des «bonbons promouvant la débauche et la dépravation enfantine». Soit ! Néanmoins, personne ne s’interroge sur la manière dont ces produits sont entrés dans ce pays, et qui a favorisé leur circulation. Il n’y a non plus aucune question sur la meilleure éducation à donner aux enfants, pour leur permettre de réagir comme il le faut face à des images de ce type, même à l’avenir. C’est vrai que les rentiers de la tension ne font pas recette auprès d’une population éduquée…