Ils tombent de haut. Battus par la Rojita, les Lionceaux rentrent du Brésil désillusionnés. Mais, ils ont laissé entrevoir un talent à affiner qui annonce des lendemains qui chantent. Il faut se frotter en revanche au haut niveau pour se créer un couloir de progression dans quelques années. C’est un pari sur l’avenir si les espoirs sont entretenus comme un verdoyant pré. Sinon, ça risque d’être identique à la trajectoire des autres générations, qui se sont embourbées au moment de connaître la croissance qui mène au sommet.