MERCI MR SYLLA!
Moi MATAR GUEYE,
un simple profane, sans connaissances approfondies en économie, mais un patriote passionné de la souveraineté économique du sénégal, pense ceci:
Aujourd’hui, dans ce contexte de crise économique due à la pandémie du coronavirus, l’Afrique (le Sénégal) doit impérativement concevoir sa propre stratégie de sortie de la dette, qui d’ailleurs date de l’air conlonal, et dont le grand économiste Abdoulaye Wade disait détenir la formule, pour en sortir etc, que dalle!
A mon avis, vous économistes et élites devraient concevoir un modèle et des stratégies de développement qui allient enracinement et ouverture conscientes!
En effet, un modèle économique endogène et original est une nécessité pour le continent africain.
Le modèle post-colonial de développement, frappé du triple sceau de l’extraversion, du mimétisme et de la non-appropriation sociale doit être extradé. Tandis que les modèles occidentaux semblent avoir atteint leurs limites, les pays d’Afrique peuvent aujourd’hui se prévaloir prendre leur destin en main. Les technocrates, comme vous doivent s’associer aux Leaderspour innover et inventer un développement économique profitable à tous, assurant le bien être de chacun en respectant la biosphère.
L’appel du président à l’endroit de la communauté internationale n’est pas dénuée de sens!?
Mais,pour moi, il s’agit essentiellement du compter sur soi, de la mobilisation accrue des ressources endogènes, de la priorité à accorder à l’agriculture vivrière, de la nécessité de juguler la fuite illicite des capitaux, de l’intégration de l’aspect informel au développement etc. Surtout, cette réinvention du modèle de développement sénégalais exige de préserver dès à présent notre patrimoine culturel, les ressources naturelles existantes, de promouvoir un changement radical des modes d’exploitation de ces ressources, des systèmes de production et des modèles de consommation.
En mobilisant les ressources les plus modernes de la technologie , le sénégal devra s’atteler prioritairement à promouvoir trois piliers fondamentaux : l’agriculture et l’industrie agroalimentaire, réappropriation de nos ressources naturelles et la maîtrise de l’énergie soutenue et propre.
AU PRÉALABLE NOUS DEVONS AVOIR L’INTELLIGENCE ET LE COURAGE INTELLECTUELS DE DÉSIGNER SERIGNE TOUBA COMME NOTRE HÉRO NATIONAL!!!
LUI SEUL EST INVULNERABLE FACE AUX OCCIDENTAUX, DONC, AUJOURD’HUI, NOS LEDEARS DOIVENT S’INSPIRER DE SON COURAGE!
Il nous faut, seulement, avoir des Leaders Courageux.
Magnifique. A mon avis c’est l’un des plus grands économistes de son temps et l’influence d’auteurs comme Samir Amine lui confère un esprit de discernement qui fait défaut à tous ceux qui prennent pour paroles d’évangile les théories néolibérales et la viabilité de l’ordre mondial de tous temps. Un grand bravo et un vif satisfecit pour avoir démontré en quelques lignes les maux qui gangrènent nos économies depuis l’Aube des temps.
C’est très intéressant. Mais si on imagine le Sénégal autonome dans l’émission de sa monnaie, au vu de la gestion de l’argent par les politiques depuis 50 ans, ne risque-t-on pas de voir la planche à billet fonctionner sans arrêt au profit de quelques-uns, créant un problème encore plus grand ?
l’Afrique a la possibilité d’avoir de bons politiques, de vrais, des responsables, il suffit que la France ne se mette en amont ou en aval de notre processus démocratique, et qu’elle arrête d’assassiner ceux qu’elle n’arrive pas à corrompre. Oui, les politiques africains sont capables de ne pas sur-utiliser la planche à billets ? Si les Européens y arrivent, pourquoi pas nous? Donc on n’a pas un politique en Afrique, sauf Sankara. Mais il y a d’autres.
MERCI MR SYLLA!
Moi MATAR GUEYE,
un simple profane, sans connaissances approfondies en économie, mais un patriote passionné de la souveraineté économique du sénégal, pense ceci:
Aujourd’hui, dans ce contexte de crise économique due à la pandémie du coronavirus, l’Afrique (le Sénégal) doit impérativement concevoir sa propre stratégie de sortie de la dette, qui d’ailleurs date de l’air conlonal, et dont le grand économiste Abdoulaye Wade disait détenir la formule, pour en sortir etc, que dalle!
A mon avis, vous économistes et élites devraient concevoir un modèle et des stratégies de développement qui allient enracinement et ouverture conscientes!
En effet, un modèle économique endogène et original est une nécessité pour le continent africain.
Le modèle post-colonial de développement, frappé du triple sceau de l’extraversion, du mimétisme et de la non-appropriation sociale doit être extradé. Tandis que les modèles occidentaux semblent avoir atteint leurs limites, les pays d’Afrique peuvent aujourd’hui se prévaloir prendre leur destin en main. Les technocrates, comme vous doivent s’associer aux Leaderspour innover et inventer un développement économique profitable à tous, assurant le bien être de chacun en respectant la biosphère.
L’appel du président à l’endroit de la communauté internationale n’est pas dénuée de sens!?
Mais,pour moi, il s’agit essentiellement du compter sur soi, de la mobilisation accrue des ressources endogènes, de la priorité à accorder à l’agriculture vivrière, de la nécessité de juguler la fuite illicite des capitaux, de l’intégration de l’aspect informel au développement etc. Surtout, cette réinvention du modèle de développement sénégalais exige de préserver dès à présent notre patrimoine culturel, les ressources naturelles existantes, de promouvoir un changement radical des modes d’exploitation de ces ressources, des systèmes de production et des modèles de consommation.
En mobilisant les ressources les plus modernes de la technologie , le sénégal devra s’atteler prioritairement à promouvoir trois piliers fondamentaux : l’agriculture et l’industrie agroalimentaire, réappropriation de nos ressources naturelles et la maîtrise de l’énergie soutenue et propre.
AU PRÉALABLE NOUS DEVONS AVOIR L’INTELLIGENCE ET LE COURAGE INTELLECTUELS DE DÉSIGNER SERIGNE TOUBA COMME NOTRE HÉRO NATIONAL!!!
LUI SEUL EST INVULNERABLE FACE AUX OCCIDENTAUX, DONC, AUJOURD’HUI, NOS LEDEARS DOIVENT S’INSPIRER DE SON COURAGE!
Il nous faut, seulement, avoir des Leaders Courageux.
MATAR(DIAVARTOU)
Magnifique. A mon avis c’est l’un des plus grands économistes de son temps et l’influence d’auteurs comme Samir Amine lui confère un esprit de discernement qui fait défaut à tous ceux qui prennent pour paroles d’évangile les théories néolibérales et la viabilité de l’ordre mondial de tous temps. Un grand bravo et un vif satisfecit pour avoir démontré en quelques lignes les maux qui gangrènent nos économies depuis l’Aube des temps.
Tres bon texte. malheureusement, nos gourvernants actuels n’ont pas le courage de se departir de cette dependance monetaire.
C’est très intéressant. Mais si on imagine le Sénégal autonome dans l’émission de sa monnaie, au vu de la gestion de l’argent par les politiques depuis 50 ans, ne risque-t-on pas de voir la planche à billet fonctionner sans arrêt au profit de quelques-uns, créant un problème encore plus grand ?
l’Afrique a la possibilité d’avoir de bons politiques, de vrais, des responsables, il suffit que la France ne se mette en amont ou en aval de notre processus démocratique, et qu’elle arrête d’assassiner ceux qu’elle n’arrive pas à corrompre. Oui, les politiques africains sont capables de ne pas sur-utiliser la planche à billets ? Si les Européens y arrivent, pourquoi pas nous? Donc on n’a pas un politique en Afrique, sauf Sankara. Mais il y a d’autres.
Vous devriez parlez comment l’ouest fait fonctionner la planche, les etats unis, l’Europe ou la France quand elle le pouvait.