Depuis des décennies, les politiciens et les activistes prétendent que c’est le pillage de nos mers par les navires européens qui est à la base de la rareté du poisson de nos côtes. Or, voilà que ces Occidentaux que nous avons toujours voués aux gémonies viennent d’annoncer leur décision de quitter nos zones de pêche. Au lieu de s’en réjouir, nos artisans semblent inquiets. Quant à notre ministre, elle semble avoir avalé de travers et n’a plus de voix. Les Toubabs l’auraient-ils mise dans des eaux troubles par cette décision ?
Par Sucré-Salé