Que dire ? C’est une sortie des maitres coraniques qui nous en apprend. On ne savait pas que l’éducation islamique allait de pair avec les châtiments corporels. C’est une découverte pour tous ceux qui ont fréquenté les «daaras», qui ont mémorisé le Saint Coran, sans subir ces pratiques rétrogrades. Cheikhouna Guèye est aujourd’hui face à son destin. Sera-t-il enchaîné par la justice ? Ou sera-t-il libéré par elle ?