Que vous inspire le débat sur le départ de Alioune Sarr du Cng de lutte à la fin du mois d’octobre prochain ?Justement, on parle d’un départ déjà acté…Qu’est-ce qui vous a marqué chez l’homme ?Son départ agité laisse place à un autre débat, celui de la mise en place d’une Fédération de la lutte. Quelle lecture en faites-vous en tant qu’ancien directeur de la Haute compétition ?Il faudra alors combien de temps pour y parvenir ?Seulement, on constate que Dakar regroupe l’essentiel des écuries. Est-ce qu’il n’y aura pas de problèmes à ce niveau ?Pour vous, où se situerait le handicap majeur pour la mise en place d’une Fédération ?Pourtant toutes ces questions ont été posées lors des Assises de 2018. Alors pourquoi il n’y pas eu de suite ?Qui doit composer cette structure autonome en charge des textes ?Et vous pensez que deux ans suffiront pour tout mettre en place et aller vers une Fédération ?Comment voyez-vous l’avenir de la lutte au Sénégal, avec tout ce qui se passe en ce moment : un Cng en fin de mandat, l’absence de sponsors et de grands combats ?A vous entendre parler, le problème est créé par les acteurs de la lutte eux-mêmes…Pour vous, quel est le profil pour succéder à Alioune Sarr à la tête d’un Cng ou d’un Comité de normalisation ?Parlons des Jeux Olympi­ques de la Jeunesse (Joj) qui devaient avoir lieu en 2022 finalement reportés à 2026. Que vous inspire ce report ?On a quand même 6 années pour rectifier le tir…Que faire des jeunes qui étaient prévus pour les Joj de 2022 ?Parlons de vous. Comment se passe votre retraite après plus de 40 ans au service de votre pays ?Le travail ne vous manque pas ?Peut-on s’attendre à vous voir un jour occuper de nouvelles responsabilités ?Alors c’est quoi vos hobbies ?