#Fatick – Préparation des épreuves d’histoire et de géographie : Djidiack Faye encadre les candidats au Bac

Par Astou NDIAYE –
Comme à l’accoutumée, le département d’histoire et de géographie du Lycée Coumba Ndoffène Diouf de Fatick a tenu sa synthèse annuelle d’histoire et de géographie pour les candidats au Baccalauréat de la ville de Fatick au Crfpe de Fatick. Cette année, le thème s’est porté sur «antagonisme des deux superpuissances et le processus de décolonisation du Tiers-monde, cas pratiques». Cette initiative a été portée par Djidiack Faye, directeur de l’Agence régionale de développement (Ard), également président du Mouvement pour la révolution citoyenne (Mrc) et membre de la Coalition «Diomaye Président». «Nous sommes là ce matin (hier) pour accompagner les élèves de terminale du Lycée Coumba Ndoffène Diouf de Fatick, afin qu’ils abordent de la meilleure manière les examens du Baccalauréat dans le domaine de l’histoire et de la géographie, qui restent des matières fondamentales et stratégiques», a informé Djidiack Faye.
En ce qui concerne le choix des disciplines abordées par les intervenants et le thème choisi, l’acteur politique s’explique : «Etant un pur scientifique, j’ai toujours aimé l’histoire et la géographie tout au long de mon cursus scolaire. En tant qu’aménagiste plus tard, j’ai appris que la géographie est le carrefour des disciplines et que tout le monde en a besoin. Quant à l’histoire, elle est importante à connaître pour mieux appréhender le présent et le futur. Je souhaite que ce thème vous aide à réussir le Baccalauréat et que vous en ayez besoin pour comprendre la géopolitique mondiale.» Il enchaîne : «nous en sommes à notre quatrième activité ce trimestre dans le domaine du soutien à l’éducation, un secteur crucial pour le développement de notre Nation. Nous avons soutenu le Club scientifique du Lycée Coumba Ndoffène Diouf de Fatick, ainsi que les journées d’excellence des établissements de Patar Sine et du Cem 4 de Fatick», dit-il.
Pour lui, le développement d’un pays se mesure à la qualité de ses ressources humaines. «L’éducation est le socle du développement. Heureusement, cela concorde avec la vision des nouvelles autorités de ce pays», souligne-t-il.
Correspondante