Satisfaction : c’est le sentiment le mieux partagé par les membres de la Mutuelle de santé de l’éducation (Mse), au sortir de leur Assemblée générale nationale tenue le 2 février dernier dans la capitale du Sine. Cette satisfaction, si l’on en croit le Président du conseil d’administration (Pca), s’explique d’une part par la qualité de la prise en charge sanitaire dont bénéficient les adhérents, et d’autre part par la bonne tenue des comptes de la Mse. «Aujourd’hui, nous sommes l’une des rares mutuelles de santé qui ne doivent de l’argent à aucune structure sanitaire conventionnée, à aucune pharmacie conventionnée et à aucun de ses adhérents», s’est réjoui Insa Mané. Lequel s’est empressé d’ajouter que «le rapport de la commission de contrôle a montré un taux de satisfaction très important. Ce qui implique un taux de fidélisation tout aussi important», a indiqué celui qui venait d’être reconduit pour la deuxième fois comme Pca de la Mse. Avec son équipe, M. Mané s’est donné comme objectif principal de massifier davantage cette mutuelle forte aujourd’hui d’environ 3 000 membres et qui a fini de s’installer dans 37 départements sur les 45 que compte le pays.
Au-delà de la prise en charge sanitaire, la Mse s’intéresse également à l’environnement de ses adhérents en vue d’améliorer leurs performances à l’école. C’est pourquoi, renseigne Insa Mané, elle a initié ce que l’on appelle des «points de ravitaillement» destinés à couper la chaîne de dépendance qui existe entre certains enseignants et certains boutiquiers. «C’est une façon pour nous de contribuer à l’amélioration des conditions d’enseignement-apprentissage», a fait savoir Insa Mané.