La Cour d’appel de Paris a ordonné jeudi la mise en liberté sous contrôle judiciaire de Tariq Ramadan, mis en examen pour des viols qu’il conteste.

La Cour d’appel de Paris a ordonné hier la mise en liberté sous contrôle judiciaire de l’islamologue, incarcéré depuis sa mise en examen le 2 février pour des viols qu’il conteste, a annoncé son avocat à l’Agence France-presse (Afp).
La libération de l’islamologue suisse de 56 ans est soumise au versement d’une caution de 300 mille euros, a précisé son avocat Emmanuel Marsigny. Tariq Ramadan, qui doit remettre son passeport suisse, a interdiction de quitter le territoire, d’entrer en contact avec les plaignantes et certains témoins. Il devra se pointer une fois par semaine au commissariat.
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