C’est une situation presque normale. La capitale est le centre de tous les paradoxes, le lieu de tous les excès. Finalement, ça donne la fièvre à tout le monde avec une multiplication des cas à Dakar, qui n’étouffe pas sous l’usage des masques. Elle tousse à cause du relâchement constaté partout, provoquant une deuxième vague qui nous plonge dans l’inquiétude. Que faire en fin de compte ? Imposer l’application des mesures restrictives. C’est le secret pour vaincre le petit monstre…