A Ouaga, des vies innocentes sont tombées sous les balles de terroristes. Ce qui inquiète, c’est cette facilité déconcertante que ces tueurs ont pour entrer dans nos villes pour tuer avant de se faire tuer. On doit être en émoi devant la banalisation du meurtre, l’endoctrinement d’une partie de notre jeunesse par des faux dévots. De Ouaga à Bamako, en passant par Abidjan, les larmes doivent être versées pour pleurer ces morts innocents et surtout jeter au bûcher ces criminels transfrontaliers.