Une très bonne analyse qui soulève une autre problématique pertinente. Comment comprendre que l’écrasante majorité de la population parle Wolof alors l’hymne nationale est composée en Français. Cette question est valable pour tous les pays africains. De ce fait, elle doit interpeller les intellectuels africains. Dire que nos langues ne sont pas aptes à véhiculer des contenus scientifiques est une erreur historique car le français est un assemblage de latin, de grec de l’anglais et de l’arabe et j’en passe. La science c’est d’abord les chiffre, or les chiffre utilisés par le français étaient à l’origine des chiffres arabe. Il suffit par exemple de chercher les noms scientifiques de certains arbres en Afrique pour s’en apercevoir de la précarité de la langue française en science. Tout cela pour dire que l’argument selon lequel nos langues ne peuvent pas s’adapter à la science est un faux prétexte animé par l’esprit de mépris des africains.
Une très bonne analyse qui soulève une autre problématique pertinente. Comment comprendre que l’écrasante majorité de la population parle Wolof alors l’hymne nationale est composée en Français. Cette question est valable pour tous les pays africains. De ce fait, elle doit interpeller les intellectuels africains. Dire que nos langues ne sont pas aptes à véhiculer des contenus scientifiques est une erreur historique car le français est un assemblage de latin, de grec de l’anglais et de l’arabe et j’en passe. La science c’est d’abord les chiffre, or les chiffre utilisés par le français étaient à l’origine des chiffres arabe. Il suffit par exemple de chercher les noms scientifiques de certains arbres en Afrique pour s’en apercevoir de la précarité de la langue française en science. Tout cela pour dire que l’argument selon lequel nos langues ne peuvent pas s’adapter à la science est un faux prétexte animé par l’esprit de mépris des africains.
Votre analyse sur la portée profonde de l’acte de Kemi et sur le symbole que cela représente pour l’Afrique de demain, est des plus pertinent! Ma génération fera front aux vestiges de la colonisation et l’Afrique sortira grandit!
Le sort à conjurer. dans cette Afrique quotidiennement humiliée reste fondamentalement préoccupant .A croire encore qu être lucide dans ce continent devient condescendant.L’insulte à notre intelligence par les negres de maison ne doit plus prospérer ,c’est pourquoi le symbolisme qui marque la rupture doit lui aussi être conforté. Le soutient à Kemi reste reste une demarche louable.
Une très bonne analyse qui soulève une autre problématique pertinente. Comment comprendre que l’écrasante majorité de la population parle Wolof alors l’hymne nationale est composée en Français. Cette question est valable pour tous les pays africains. De ce fait, elle doit interpeller les intellectuels africains. Dire que nos langues ne sont pas aptes à véhiculer des contenus scientifiques est une erreur historique car le français est un assemblage de latin, de grec de l’anglais et de l’arabe et j’en passe. La science c’est d’abord les chiffre, or les chiffre utilisés par le français étaient à l’origine des chiffres arabe. Il suffit par exemple de chercher les noms scientifiques de certains arbres en Afrique pour s’en apercevoir de la précarité de la langue française en science. Tout cela pour dire que l’argument selon lequel nos langues ne peuvent pas s’adapter à la science est un faux prétexte animé par l’esprit de mépris des africains.
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