Cette année, comme les précédentes, le Magal de Touba a fait le plein. Plein de monde, plein de ferveur, plein d’abondance et de ripaille… et plein de problèmes. Des morts sur la route, ont dépassé les chiffres de derniers pèlerinages. Les questions de l’eau aussi n’ont pas manqué. Certains quartiers en avaient trop dans leurs rues, tandis que des foyers peinaient à en trouver pour leurs besoins. Bref, Touba est encore et toujours la Cité des excès. Au point parfois de nous faire oublier les autres maux du pays.