Après Trump, Bolsanaro ne fera aussi qu’un seul mandat. Après des années de prison, banni de la scène politique, Lula fait son come-back de manière magistrale en redevenant président de la République. Il peut danser la Samba. Avec son élection, le Brésil ferme une parenthèse fâcheuse avec un «facho» à sa tête. La chute de Bolsanaro n’annonce pas la fin des régimes populistes, mais c’est une figure de proue de ce système qui est renvoyée dans les cordes. C’est le même qui est devenu polarisé renvoyant dans les placards les rêves des pères fondateurs.