L’affaire tourne à l’acharnement. C’est la première fois que la justice se saisit d’un cas de décès dont aucun des proches n’a contesté le genre de mort. La famille du défunt se trouve empêchée de faire le deuil de sa perte, juste pour les caprices de certains. Pour corser la chose, ceux qui, du vivant du décédé, se sont permis de le qualifier de «faussaire des comptes de l’Etat», ajoutent l’insulte à l’injure, en prétendant qu’il s’est suicidé pour échapper à la justice. Un commis de l’Etat à qui tous devraient rendre hommage, se retrouve balloté par des petites personnes qui jamais, n’auront droit aux mêmes hommages.
Par Sucré-Salé
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