Tout ce qui risque de perturber la campagne de commercialisation de l’arachide ne peut qu’inquiéter les plus hautes autorités. Il était donc normal que le chef de l’Etat en personne monte au créneau pour s’en émouvoir. Si l’arachide a fait la fortune de beaucoup de gens dans ce pays, cela ne s’est pas fait par des braquages. Ces actes ne pouvaient donc que braquer le Président.