Quelqu’un qui doit regretter les ors du pouvoir à cette heure-ci, c’est Dos Santos, l’ancien dirigeant d’Angola, dont le fils se retrouve privé de liberté pour justement avoir trop joui des avantages du pouvoir. Le garçon a sans doute voulu se mesurer à ses copains Téodorin, Karim, Zoé Kabila et autres. Mais il a oublié que même s’il semble durer très longtemps, aucun pouvoir n’est éternel, et qu’il faut savoir quitter la tête haute. Adulé et détesté hier, il est devenu presqu’anonyme aujourd’hui. Aura-t-il compris la leçon pour pouvoir l’expliquer à ses anciens copains encore au pouvoir ?