Vous parlez d’une Casamance différente de celle qui m’a vu naitre, grandir.
Mes parents sont des wolofs, si j’affirme être culturellement diola et manding, c’est parce qu’en Casamance nous n’avons pas un problème ethnique.
Le casamançais n’aime pas l’injustice, ne soyez pas surpris si vous le voyez refuser de participer à une affaire nébuleuse.
Demandez au Président de tenir les promesses qu’il a fait à la jeunesse et arrêtez de nous distraire.
J’admire beaucoup ton courage Madiambal malheureusement nous sommes dans un pays où les oreilles ont depuis longtemps perdu l’habitude d’entendre la vérité je vous invite à faire attention aux politiciens qui sont prêts à brûler notre pays pour accéder au pouvoir terrestre éphémère ou y demeurer qu’on soit bambara wolof peuls diola serrer ou autres ouvrons les yeux et ne laissons pas ces gens aveuglés par le pouvoir terrestre éphémère nous diviser de grace
Mr Madiambal, toujours pertinent, toujours audacieux, toujours juste et toujours républicain…vos propos sonnent comme une alerte. Au lieu de s’en servir, les hypocrites, les malintentionnés, les malhonnêtes essaient de les déboulonner…mais restez droit dans vos bottes. Vous avez dit tout simplement ce que tout le monde sait et n’ose pas dire. Le bon Dieu vous guidera et vous protégera puisque vous êtes sincère et véridique. Et « Dieu est avec les gens justes » coran
On voit en filigrane des propos partisans.le chroniqueur,de façon intelligente,évoque des pans de l’affaire qui,pris isolément rendent ses propos pertinents. Mais les gens ne sont pas dupes M. Diagne ! Ce n’est pas avec un long texte au contenu sélectif que vous allez effacer de la mémoire des sénégalais ce qu’ il vivent au quotidien contrairement à cette bourgeoisie que vous défendez.
ce n’est pas une question d’ethnie mais de peuple
c’est le peuple sénégalais qui a vomit ce régime.
y’en a marre de ces politiciens.
la majorité des jeunes sont unis contre ce régime, personne ni rien ne peux nous diviser inchaAAllah
A quoi ça a un rapport avec la situation actuelle de ce pays. Au Sénégal les jeunes souffrent du manque de qualification professionnelle et d’emploi. Intéressez vous de çà c’est mieux que d’être là à diviser les sénégalais.
How did you go bankrupt” he asked. Two ways: Gradually and then suddenly Mike responded (Ernest Hemingway in ‘The Sun also rises’)
Ce qu’a subi le Président de la République ses derniers jours et la perte de crédibilité nationale aussi bien qu’internationale qui en résulte, est une leçon à méditer pour des années et des générations à venir.
La grande farce tout au long du mandat a été de nous placer devant une évidence pour nous demander ensuite de l’ignorer.
Au seuil de ses nouvelles fonctions en 2012, il était évident que ce que les sénégalais demandaient, après les années Wade, c’était un peu de développement économique mais beaucoup, beaucoup d’état de droit, de liberté publique et de démocratie. Ils voulaient, par exemple et au nom de la dignité, qu’on leur épargne, dorénavant, ces matins d’élections où l’on voit des milliers de Sénégalais, l’air hagard, à la recherche d’une carte d’électeur apparemment perdue ou non imprimée (à dessein) par l’état.
Malheureusement, dès l’entame de son mandat, le Président, alors que la Casamance brûle encore, s’engouffre dans la brèche ethnique. Une sorte de dynastie ethnique s’installe au pouvoir. Ils ne leur traversent même pas l’esprit qu’ils sont en train de se tirer dans le pied pour l’avenir tant ils ne pourront se plaindre. Au plan des évidences, c’est l’éléphant dans la chambre. On peut faire semblant de l’ignorer, mais il remplit notre vue. Pudiques, les sénégalais regardent de l’autre cote. Laissons-le faire murmurent-ils, ce n’est pas grave en autant qu’il travaille.
Alors que plus de la moitié du pays ne sait plus ce que signifie prendre 2 repas par jour, le Pdt Sall lance la construction d’un TER. Il n’écoute ni les sénégalais qui lui disent que ce n’est pas une priorité, ni la Banque Mondiale, dont la Directrice se fera descendre à Abidjan par un ministre de la République. Aux Sénégalais on demande de se taire, tant c’est une lapalissade que l’état connait (mieux qu’eux), ce qui est bon pour eux. A la Banque Mondiale, on demande de la fermer, si elle
ne veut pas participer au financement. Mais qu’à cela ne tienne. Patiente de ses presque 80 ans d’existence, cette dernière sait que pour exister, le TER devra être subventionné. Quand ce petit bout de train sera opérationnel, dans 10 ou 15 ans, elle exigera, à la première demande de financement de l’état, l’arrêt des subventions, la participation du privée, l’augmentation des tarifs (la trilogie de la Banque). Le moment venu, la BM tuera le TER à petit feu.
Esseulés des années Wade, les Sénégalais attendaient du Président Macky Sall qu’il rétablisse l’état de droit dans le pays. Il les ignorera royalement. Apres Karim Wade qu’il fait exiler, il embastille Khalifa Sall, son principal concurrent politique. A ceux qui lui reprochent d’utiliser la Justice pour des règlements de compte, le Président demande de regarder ailleurs. Quand un jeune talibé se fait agresser par son maitre coranique, l’état, plutôt que de dire ‘force à la loi’, négocie une sortie de crise : un sursis pour le marabout et les séquelles à vie pour l’infrahumain de talibé. Des corps de migrants échouent sur les plages comme de vulgaires marsouins. Pas un ministre de la République ne digne leur accorder (ou à leurs familles) un quelconque égard. On n’est pas là pour compter des corps, dira l’un d’eux.
Toujours au registre de l’état de droit, alors que dans les prisons croupissent des voleurs de chèvres, des politiques, pris la main dans la contrefaçon de millions de billets de banque, se la coulent douce. Aux premiers, on demande de donner du temps au temps de la Justice, aux seconds on accorde la liberté conditionnelle ; ils seraient dit-on touchés d’une affliction survenue au lendemain de leur arrestation… Enhardi par la patience des Sénégalais, le Président de la République fait dans la menace, quand il ne les nargue pas : je donnerai les vaccins a d’autres pays si vous ne les prenez pas. Comme s’il les avait achetés avec son argent. Avant ça, droit dans les yeux et sans broncher, il leur dit : certains dossiers judiciaires, j’ai mis le coude dessus. Etrangement ce sont tous des dossiers qui épinglent les gens de son entourage ou de son parti. A ceux qui ont la tête dure, il répète dans son entrevue du 31 décembre 2020 : quand un dossier de justice risque d’enflammer la nation, je le mets à terre. La répétition est pédagogique…
Quant aux principes élémentaires de démocratie, le Président ne semble en avoir cure. Enfermé au palais avec ses amis, il en ressort et décrète que le mandat des élus locaux est prolongé d’office. De mémoire, on n’a jamais vu dans une démocratie, le pouvoir exécutif décréter la prorogation du mandat des élus locaux en l’absence de guerre, insurrection ou catastrophe naturelle. Il n’y a pas pire horreur en démocratie.
Nous demander de pas accorder d’importance à l’évidence, c’est aussi menacer ses adversaires politiques de les réduire à leur plus simple expression et s’étonner ensuite qu’ils n’aient pas d’égard à son endroit. La famille politique du Président n’en dort plus de violenter leurs adversaires. Cette violence qu’ils portent en eux est pathologique et loin d’être normale.
Pour qui connait la sociologie et l’histoire politique de ce pays, les actes du Président et de ses sycophantes ne pouvaient prospérer.
La vie du Président sera dorénavant compliquée. Combattu à l’intérieur du pays, il sera talonné à l’étranger. De New York à Paris, de Madrid à Rome, des hordes de sénégalais, citoyens de leurs pays d’adoption, qu’il ne peut ni mettre sous mandat de dépôt, ni condamner pour offense à sa personne, l’attendront devant le siège des Nations Unis, les terminaux, les parlements et les hôtels. Ils ne lui épargneront aucune invective ni aucun embarras.
Comment en est-on arrivé là ? Graduellement, et puis soudainement…
—————————
Ps : les évènements des derniers jours n’affecteront en rien les IDE au Sénégal. La Finance internationale est beaucoup plus résiliente qu’on le pense. Abidjan en est la preuve. Par contre le gouvernement aurait intérêt à faire sien le rapport de la BNP (mise à jour mars 2021) qui explique la faiblesse des IDE au Sénégal par : une administration lente et corrompue qui ne met pas en place suffisamment rapidement les réformes structurelles attendues par les marchés et un environnement des affaires toujours perturbé par une forte tendance du gouvernement à l’interventionnisme, une justice partiale et lente et des régulations globalement défaillantes.
Bravo M. Madiambal Diagne pour la pertinence de vos écrits. J’aurais aimé que vous citiez Aliou Sané » un autre fils de la casamance.
En vérité ils sont un trio:
Ousmane Sonko – Pastef
Aliou Sané – Ya n’en marre
Guy Marius Sagna – Feapp France Degage
En leur qualité de Sénégalais, ils ont tous les droits, mais venant tous d’une région où la rébellion à tué injustement des centaines de jeunes compatriotes venant de partout au Sénégal, nous devons faire très attention.
Nous ne devons pas accepter d’être manipulé ainsi par ces trois individus.
Merci M. Diagne, y’a vraiment beaucoup à dire, et j’espère que ce » Lundi de Madiambal » est vraiment réussi.
J’ai commenté cet article et je ne vois toujours pas commentaire.
Puis-je savoir pourquoi?
Je crois n’avoir rien dit de mal.
Vous parlez d’une Casamance différente de celle qui m’a vu naitre, grandir.
Mes parents sont des wolofs, si j’affirme être culturellement diola et manding, c’est parce qu’en Casamance nous n’avons pas un problème ethnique.
Le casamançais n’aime pas l’injustice, ne soyez pas surpris si vous le voyez refuser de participer à une affaire nébuleuse.
Demandez au Président de tenir les promesses qu’il a fait à la jeunesse et arrêtez de nous distraire.
Admirable de clairvoyance.
Et agréable à lire.
Chapeau bas Monsieur
J’admire beaucoup ton courage Madiambal malheureusement nous sommes dans un pays où les oreilles ont depuis longtemps perdu l’habitude d’entendre la vérité je vous invite à faire attention aux politiciens qui sont prêts à brûler notre pays pour accéder au pouvoir terrestre éphémère ou y demeurer qu’on soit bambara wolof peuls diola serrer ou autres ouvrons les yeux et ne laissons pas ces gens aveuglés par le pouvoir terrestre éphémère nous diviser de grace
Qu’est ce qu’il y’a dans ce texte qui peut amener quelqu’un à condamner son auteur d’attiser une tension entre les ethnies du Sénégal ?
Mr Madiambal, toujours pertinent, toujours audacieux, toujours juste et toujours républicain…vos propos sonnent comme une alerte. Au lieu de s’en servir, les hypocrites, les malintentionnés, les malhonnêtes essaient de les déboulonner…mais restez droit dans vos bottes. Vous avez dit tout simplement ce que tout le monde sait et n’ose pas dire. Le bon Dieu vous guidera et vous protégera puisque vous êtes sincère et véridique. Et « Dieu est avec les gens justes » coran
On voit en filigrane des propos partisans.le chroniqueur,de façon intelligente,évoque des pans de l’affaire qui,pris isolément rendent ses propos pertinents. Mais les gens ne sont pas dupes M. Diagne ! Ce n’est pas avec un long texte au contenu sélectif que vous allez effacer de la mémoire des sénégalais ce qu’ il vivent au quotidien contrairement à cette bourgeoisie que vous défendez.
Merci madiambal pour votre analyse tu m’a mâche la langue
ce n’est pas une question d’ethnie mais de peuple
c’est le peuple sénégalais qui a vomit ce régime.
y’en a marre de ces politiciens.
la majorité des jeunes sont unis contre ce régime, personne ni rien ne peux nous diviser inchaAAllah
A quoi ça a un rapport avec la situation actuelle de ce pays. Au Sénégal les jeunes souffrent du manque de qualification professionnelle et d’emploi. Intéressez vous de çà c’est mieux que d’être là à diviser les sénégalais.
Analyse pertinente sur les menaces du MFDC qui transpose le combat vers pasteef
How did you go bankrupt” he asked. Two ways: Gradually and then suddenly Mike responded (Ernest Hemingway in ‘The Sun also rises’)
Ce qu’a subi le Président de la République ses derniers jours et la perte de crédibilité nationale aussi bien qu’internationale qui en résulte, est une leçon à méditer pour des années et des générations à venir.
La grande farce tout au long du mandat a été de nous placer devant une évidence pour nous demander ensuite de l’ignorer.
Au seuil de ses nouvelles fonctions en 2012, il était évident que ce que les sénégalais demandaient, après les années Wade, c’était un peu de développement économique mais beaucoup, beaucoup d’état de droit, de liberté publique et de démocratie. Ils voulaient, par exemple et au nom de la dignité, qu’on leur épargne, dorénavant, ces matins d’élections où l’on voit des milliers de Sénégalais, l’air hagard, à la recherche d’une carte d’électeur apparemment perdue ou non imprimée (à dessein) par l’état.
Malheureusement, dès l’entame de son mandat, le Président, alors que la Casamance brûle encore, s’engouffre dans la brèche ethnique. Une sorte de dynastie ethnique s’installe au pouvoir. Ils ne leur traversent même pas l’esprit qu’ils sont en train de se tirer dans le pied pour l’avenir tant ils ne pourront se plaindre. Au plan des évidences, c’est l’éléphant dans la chambre. On peut faire semblant de l’ignorer, mais il remplit notre vue. Pudiques, les sénégalais regardent de l’autre cote. Laissons-le faire murmurent-ils, ce n’est pas grave en autant qu’il travaille.
Alors que plus de la moitié du pays ne sait plus ce que signifie prendre 2 repas par jour, le Pdt Sall lance la construction d’un TER. Il n’écoute ni les sénégalais qui lui disent que ce n’est pas une priorité, ni la Banque Mondiale, dont la Directrice se fera descendre à Abidjan par un ministre de la République. Aux Sénégalais on demande de se taire, tant c’est une lapalissade que l’état connait (mieux qu’eux), ce qui est bon pour eux. A la Banque Mondiale, on demande de la fermer, si elle
ne veut pas participer au financement. Mais qu’à cela ne tienne. Patiente de ses presque 80 ans d’existence, cette dernière sait que pour exister, le TER devra être subventionné. Quand ce petit bout de train sera opérationnel, dans 10 ou 15 ans, elle exigera, à la première demande de financement de l’état, l’arrêt des subventions, la participation du privée, l’augmentation des tarifs (la trilogie de la Banque). Le moment venu, la BM tuera le TER à petit feu.
Esseulés des années Wade, les Sénégalais attendaient du Président Macky Sall qu’il rétablisse l’état de droit dans le pays. Il les ignorera royalement. Apres Karim Wade qu’il fait exiler, il embastille Khalifa Sall, son principal concurrent politique. A ceux qui lui reprochent d’utiliser la Justice pour des règlements de compte, le Président demande de regarder ailleurs. Quand un jeune talibé se fait agresser par son maitre coranique, l’état, plutôt que de dire ‘force à la loi’, négocie une sortie de crise : un sursis pour le marabout et les séquelles à vie pour l’infrahumain de talibé. Des corps de migrants échouent sur les plages comme de vulgaires marsouins. Pas un ministre de la République ne digne leur accorder (ou à leurs familles) un quelconque égard. On n’est pas là pour compter des corps, dira l’un d’eux.
Toujours au registre de l’état de droit, alors que dans les prisons croupissent des voleurs de chèvres, des politiques, pris la main dans la contrefaçon de millions de billets de banque, se la coulent douce. Aux premiers, on demande de donner du temps au temps de la Justice, aux seconds on accorde la liberté conditionnelle ; ils seraient dit-on touchés d’une affliction survenue au lendemain de leur arrestation… Enhardi par la patience des Sénégalais, le Président de la République fait dans la menace, quand il ne les nargue pas : je donnerai les vaccins a d’autres pays si vous ne les prenez pas. Comme s’il les avait achetés avec son argent. Avant ça, droit dans les yeux et sans broncher, il leur dit : certains dossiers judiciaires, j’ai mis le coude dessus. Etrangement ce sont tous des dossiers qui épinglent les gens de son entourage ou de son parti. A ceux qui ont la tête dure, il répète dans son entrevue du 31 décembre 2020 : quand un dossier de justice risque d’enflammer la nation, je le mets à terre. La répétition est pédagogique…
Quant aux principes élémentaires de démocratie, le Président ne semble en avoir cure. Enfermé au palais avec ses amis, il en ressort et décrète que le mandat des élus locaux est prolongé d’office. De mémoire, on n’a jamais vu dans une démocratie, le pouvoir exécutif décréter la prorogation du mandat des élus locaux en l’absence de guerre, insurrection ou catastrophe naturelle. Il n’y a pas pire horreur en démocratie.
Nous demander de pas accorder d’importance à l’évidence, c’est aussi menacer ses adversaires politiques de les réduire à leur plus simple expression et s’étonner ensuite qu’ils n’aient pas d’égard à son endroit. La famille politique du Président n’en dort plus de violenter leurs adversaires. Cette violence qu’ils portent en eux est pathologique et loin d’être normale.
Pour qui connait la sociologie et l’histoire politique de ce pays, les actes du Président et de ses sycophantes ne pouvaient prospérer.
La vie du Président sera dorénavant compliquée. Combattu à l’intérieur du pays, il sera talonné à l’étranger. De New York à Paris, de Madrid à Rome, des hordes de sénégalais, citoyens de leurs pays d’adoption, qu’il ne peut ni mettre sous mandat de dépôt, ni condamner pour offense à sa personne, l’attendront devant le siège des Nations Unis, les terminaux, les parlements et les hôtels. Ils ne lui épargneront aucune invective ni aucun embarras.
Comment en est-on arrivé là ? Graduellement, et puis soudainement…
—————————
Ps : les évènements des derniers jours n’affecteront en rien les IDE au Sénégal. La Finance internationale est beaucoup plus résiliente qu’on le pense. Abidjan en est la preuve. Par contre le gouvernement aurait intérêt à faire sien le rapport de la BNP (mise à jour mars 2021) qui explique la faiblesse des IDE au Sénégal par : une administration lente et corrompue qui ne met pas en place suffisamment rapidement les réformes structurelles attendues par les marchés et un environnement des affaires toujours perturbé par une forte tendance du gouvernement à l’interventionnisme, une justice partiale et lente et des régulations globalement défaillantes.
Bravo M. Madiambal Diagne pour la pertinence de vos écrits. J’aurais aimé que vous citiez Aliou Sané » un autre fils de la casamance.
En vérité ils sont un trio:
Ousmane Sonko – Pastef
Aliou Sané – Ya n’en marre
Guy Marius Sagna – Feapp France Degage
En leur qualité de Sénégalais, ils ont tous les droits, mais venant tous d’une région où la rébellion à tué injustement des centaines de jeunes compatriotes venant de partout au Sénégal, nous devons faire très attention.
Nous ne devons pas accepter d’être manipulé ainsi par ces trois individus.
Merci M. Diagne, y’a vraiment beaucoup à dire, et j’espère que ce » Lundi de Madiambal » est vraiment réussi.
Ajouter l’activiste cheikh tidiane dieye