Le résultat de la présidentielle américaine a dû faire rêver nos dirigeants africains. Certains, comme notre ancien Président, ont sans doute espéré un retour aussi gagnant que celui de Trump, que le reste du monde espérait voir mordre la poussière de son terrain de golf de Floride. Ceux qui ont la même nostalgie que lui devraient tenir compte que Trump n’est pas allé se terrer dans un Emirat arabe, pour se passer par l’écran de son smartphone afin de s’adresser à ses militants et battre campagne. La dernière leçon d’Amérique est que quand on veut le pouvoir, on doit accepter de risquer des balles ou des insultes en cas de nécessité.
Par Sucré-Salé