A 9 mois de la fin de son mandat, Macky entreprend les derniers travaux de son magistère. Pour lui, tout est urgence, comme s’il devait commencer un magistère : il a besoin d’un successeur très vite au sein de sa coalition, de rétablir l’ordre public, d’achever les chantiers en cours. Il va emprunter le Brt et prendre le Ter jusqu’à l’aéroport de Diass ? Comme un débutant, il va savourer les derniers instants de sa vie présidentielle sans retenue. Les vertiges du pouvoir, la solitude ? Tout ça devient des vitamines pour un homme qui va compter les jours qui lui restent à vivre au Palais. Quelle vie !