Dans l’optique de soulager les ménages en proie à la hausse des prix de certaines denrées de première nécessité, le gouvernement aurait décidé de renoncer à toutes les taxes sur le riz brisé importé. L’équation pour l’Etat, actuellement, est de s’assurer que les consommateurs, et non pas que les commerçants spéculateurs, puissent réellement bénéficier de la baisse des prix que cette mesure entraînera.Par Mohamed GUEYEmgueye@lequotidien.sn