Le Sénégalais a souvent été vanté pour sa capacité à dialoguer. Ne dit-on pas qu’il n’y a pas de désaccord absolu, il n’y a qu’un manque de dialogue ? Le même principe qui aurait dû être appliqué dans le cadre de la question du parrainage a laissé la place à un étalage de muscles. Les bonnes volontés sont découragées. Une situation similaire à la fin de 2011 avait conduit à mort d’homme. Espérons que l’on n’en arrive plus là !