Matraquage

Les partisans de Karim Wade risquent de saturer l’opinion. Leur dernière communication sur la condamnation du Sénégal par le Comité des droits de l’Homme des Nations unies n’a pas reçu l’accueil que ce genre d’information obtenait auparavant. Peu de journaux en ont fait leur vitrine. Au-delà du refus de manipulation manifeste, la réalité est que les Sénégalais trouvent que ce scénario de Karim Wade, tout comme celui de Khalifa, ne veut pas prendre fin. Or, les gens n’ont plus besoin d’arguments supplémentaires pour se déterminer par rapport aux échéances électorales à venir. Ils n’ont plus besoin de matraquage supplémentaire.