La campagne de la violence est en marche. Chaque jour, les «élec-tueurs» perturbent la quiétude des citoyens déjà embarrassés par la présence d’autant de listes. En attendant le jour du scrutin, les animateurs des différentes coalitions ont ouvert leur mercato en recrutant des nervis armés jusqu’aux dents. Même l’arrêté du ministre de l’Intérieur sur le port d’arme ne constitue pas un chiendent pour ces fauteurs de trouble.