«Nous allons prendre part au dialogue si nous sommes conviés. Le Khalife général est dans son rôle de régulateur social, de fédérateur, dans son rôle de chercher à rapprocher les différentes positions, à faire de telle sorte que les différents acteurs politiques se rencontrent et parlent de l’essentiel. En ce qui nous concerne, nous sommes pour le dialogue mais un dialogue inclusif, qui intéresse l’ensemble des acteurs. Un dialogue qui permet de faire des pas en avant pas un dialogue qui nous amène à faire du sur place. Nous voulons progresser dans l’organisation parce que les dernières élections ont été mal organisées. Nous voulons progresser dans l’approfondissement de la démocratie notamment par le financement des partis politiques, par l’audit indépendant du fichier électoral.»

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