Par Sucré Salé

– On ne les appellera pas les négociations de la dernière chance, peut-être celles de l’avant-dernière chance. Les pourparlers qui s’ouvrent aujourd’hui avec les propositions financières que l’État va mettre sur la table, devraient permettre aux enseignants de retrouver leurs élèves dans les salles de classe. Si tant est que c’est la survie de l’École qui leur importe. Sinon, on acceptera finalement le
fait que beaucoup de nos enseignants ne sont dans la profession que pour la sécurité financière et la capacité de gagner de l’argent en étant théoriquement en grève.