Ngoundiane – Pose 1ere pierre poste de santé de Mbayenne Diack : Un bijou de 81 millions F Cfa

Financé par le Groupe Layousse, un poste de santé d’un coût de 81 millions F Cfa sera construit au niveau du village de Mbayenne Diack, situé dans la commune de Ngoundiane. Par Cheikh CAMARA –
81 millions de F Cfa. C’est le coût du poste de santé du village de Mbayenne Diack, dans la commune de Ngoundiane, dont la première pierre vient d’être posée par le maire Mbaye Dione. La structure sanitaire comprendra un dispensaire et une maternité et devrait être achevée dans un délai de cinq mois. C’est dans l’esprit de la Responsabilité sociétale d’entreprise (Rse) que le Groupe Layousse, à travers sa carrière Cogeca, s’est engagé à financer ce projet. Devant les représentants de la communauté minière locale et de Birahim Seck du Forum civil, le maire de Ngoudiane, Mbaye Dione, revenant sur «l’importance toute particulière que je porte à la santé de nos populations», a remarqué que «ce poste constitue le septième du type réalisé dans la circonscription communale». Un bijou en particulier bénéfique aux femmes, avec l’ajout de la maternité pour améliorer considérablement l’accès aux soins de santé maternelle et infantile dans ladite zone. Le maire de Ngoudiane a évoqué «l’impact de ce poste sur la communauté» et dans « le renforcement de la position de Ngoudiane comme une commune qui valorise et promeut activement la santé de sa population ». Pour Mbaye Dione, ce projet revêt une «dimension importante en termes de contenu local», par rapport surtout à «l’emploi de la main-d’œuvre locale dans les travaux de construction». Il remarque que «la majorité des ouvriers mobilisés dans la construction seront recrutés directement au sein de la communauté Ngoundia-noise». Mbaye Dione souligne que «cet engagement représente une opportunité économique significative pour la localité, tout en garantissant les bénéfices du projet qui se reflètent non seulement dans la santé améliorée de la population mais aussi la stimulation de l’économie locale». Il précise que «cette démarche s’inscrit dans une vision durable et intégrée du développement, où les projets d’infrastructures sont conçus pour maximiser l’impact positif sur la communauté locale, tant en matière de santé que d’emploi».
Correspondant