On a connu Le vieux nègre et la médaille de Ferdinand Oyono. On pourrait écrire «Le vieux socialiste et la politique», en écrivant ses mémoires. Le point saillant doit être ses dernières sorties où se mêlent engagement en faveur d’un homme et désespoir d’un politicien habitué aux ors du pouvoir et qui a peur d’en être privé. Après «balle ba tak na Président», il a nous a servi hier une prière qui rappelle en même temps la passion et le désespoir d’un vieux militant.