Nos chefs et leurs maîtres à Gaza

C’est bien tard hier que le Président français a sorti une tiède condamnation du massacre perpétré hier Gaza par les militaires israéliens. On peut donc s’attendre à avoir dans la journée d’aujourd’hui une cascade de réprobations de la part des dirigeants africains et arabes, ainsi «libérés». Attitude de sagesse, quand on ne sait quelle position prendre. En effet, serait-il prudent de critiquer Netanyahu, le protégé de Trump, si l’on ne peut s’abriter derrière le dos de Emmanuel ? Tout le monde n’est pas Reccep qui ose défier tout le monde.