Chassez le naturel, il revient au galop, devrait-on dire tout de go.
Ousmane Sonko et sa racaille ne changeront jamais. Seulement à l’insolence jubilatoire de l’homme au faîte de sa gloire médiatique qui toisait l’Etat et menaçait de mort le président de la République, s’est substituée une haine sans mesure contre celui qui incarne désormais l’avenir du peuple et vogue inexorablement vers le pouvoir, Amadou Ba.
Oui, Ousmane Sonko est un démon tombé dans les flammes de l’enfer qu’il destinait à toute la classe politique réunie. Il a fini au fond d’une cellule, condamné à une peine largement méritée pour le viol sans pitié d’une pauvre jeune femme et pour son insolente turpitude.
Il a insulté tout le monde. Il a outragé toutes les sommités morales et socioreligieuses garantes de notre commune volonté d’un vivre ensemble dans la paix.
Il s’est cru parfait, si bien qu’au sommet de sa gloire éphémère, contemplant la terre promise du pouvoir qui semblait lui tendre les bras au point qu’il crût l’avoir étreint, Ousmane Sonko s’est senti maître de son destin, et de celui de tous les Sénégalais, otages de sa doctrine anarchiste qui sema le chaos, le malheur, la mort et la désolation dans tout le pays.
Le réveil aura été brutal pour lui !
Privé de candidature, torturé par sa conscience, harcelé par ses hautes performances à Sweet Beauté qui lui valurent de se faire rappeler par Mimi l’hystérique que celui qu’il considérait comme son pire ennemi à l’époque, le Président Macky Sall en l’occurrence, ne tenait pas le carnet de Rv de ce haut lieu de débauche, réduit au rôle d’animateur de campagne, simple faire-valoir d’un piètre Diomaye la gaffe complétement dépassé par l’enjeu, Ousmane Sonko est un homme fini qui cherche à se réinventer bien malgré lui un nouveau rôle : celui d’un directeur de campagne censé trouver la panacée pour faire élire un Bassirou Diomaye Faye candidat par défaut dont le seul fait de penser qu’il pourrait ramasser le bénéfice de tous ses sacrifices le font défaillir de colère et de frustration.
Pris au piège par ses partisans dont il est l’otage désormais, Ousmane Sonko cherche un exutoire à sa rage impuissante et à sa grande frustration.
Il a ainsi décidé de déverser sa bile sur Amadou Ba.
S’attaquer à la probité morale et à l’intégrité des grands hommes pour couver son propre déshonneur est sa stratégie désormais.
Cette combine ne passera pas. Amadou Ba est au-dessus des affabulations et manipulations sans fondement proférées à son encontre.
Les mensonges de Ousmane Sonko sont si grossiers que je me demande si l’homme s’est remis du coup terrible de sa déchéance politique et sociale, consacré par son élimination de la course à la Présidentielle.
Amadou Ba y répond par l’indifférence du grand frère exemplaire qui sait que la récompense d’une bonne action est souvent une mauvaise action.
Cet homme d’Etat, grand manager et formateur hors pair, a son parcours qui parle pour lui.
Ceux qui comptent sur le mensonge et la crédulité des Sénégalais, qui bâtirent leur carrière politique en les accouplant par une propagande de mauvais aloi pour tromper l’opinion ont récolté ce qu’ils ont semé. Ousmane Sonko ne convainc plus personne dans ce pays
Amadou Ba a construit sa carrière par le travail et l’action. Il a imposé son leadership par la constance de ses opinions et la force de sa conviction profonde qu’il est un acteur politique engagé pour un Sénégal de paix et de développement.
Le leadership de ce serviteur du Peuple a été adoubé par l’opinion, consacré par sa coalition et validé par les acteurs politiques de tous bords qui l’accompagnent dans son périple au contact des Sénégalais qui l’ont déjà plébiscité.
Ousmane Sonko quant à lui est l’homme du passé, l’homme du passif macabre dont on se rappellera comme celui qui brûla ce pays et échoua aux portes du pouvoir, réduit au rôle de Mc d’un candidat sans envergure qui confond souveraineté et témérité, indépendance et insolence, démocratie et démagogie.
Ousmane Sonko restera à jamais l’homme de Sweet Beauté. Et cela tombe bien : celle qui a attesté l’existence du carnet de rendez-vous en ce haut lieu de débauche est désormais à ses côtés.
Amadou Ba est l’homme dont le Sénégal a besoin.
Le Sénégal du changement dans la continuité.
Cissé Kane NDAO
Président ADER