Que dire ? Le chef de l’Etat tient à ce qu’on parle et écrive en bon français. Il a fait la demande hier, lors de la remise des prix du Concours général marqué cette année par la non-attribution du premier prix de français. C’est normal parce que les langues nationales sont plus usitées dans les écoles, les administrations que le français et l’anglais. Que faire ? Le Président trouvera la réponse dans un bon français.