Les héros de ma jeunesse n’étaient pas des joueurs de foot ou des lutteurs. C’étaient David Diop, Birago Diop, Cheikh Anta Diop. Et le Pharaon est toujours vivant. 34 ans après son décès, l’Egyptologue revit surtout avec une génération qui ne l’a pas connu, qui devient le héraut de sa pensée. C’est un triomphe outre-tombe parce que son travail n’est pas tombé dans l’oubli. On commémore aujourd’hui un homme, qui a été utile à son Peuple et pays. Tout le monde ne peut pas en dire autant.